Kinésithérapie passive : quels outils utiliser ?

Kinésithérapie passive : quels outils utiliser ?

19 juillet 2024 0 Par Zozo

La kinésithérapie passive est une technique thérapeutique qui vise à traiter les conséquences des maladies sur les systèmes ostoarticulaires, musculaires, cardiovasculaires et respiratoires. Elle regroupe différentes techniques appliquées passivement aux structures concernées. Il s’agit des articulations et des muscles. Pour réaliser cette pratique, le professionnel doit se servir des équipements adaptés.

Kinésithérapie passive : quels bienfaits pour les patients ?

La kinésithérapie passive est une forme de traitement utilisée par les kinésithérapeutes pour aider les patients à retrouver leur mobilité et à soulager la douleur. Contrairement à la kinésithérapie active, où le patient participe activement aux exercices, la kinésithérapie passive implique principalement des mouvements effectués par le thérapeute sur le patient. Cette approche peut être bénéfique dans de nombreux cas, et dans cet article, nous examinerons certains des principaux bienfaits de la kinésithérapie passive.

Un des principaux avantages de la kinésithérapie passive est la diminution de la douleur. Les mouvements doux et contrôlés effectués par le kinésithérapeute peuvent aider à réduire l’inflammation et à soulager la tension musculaire, ce qui peut entraîner une diminution de la douleur. De plus, la kinésithérapie passive peut aider à stimuler la production d’endorphines, des hormones naturelles qui agissent comme des analgésiques naturels, ce qui peut également contribuer à la réduction de la douleur.

Un autre avantage de la kinésithérapie passive est l’amélioration de la circulation sanguine. Les mouvements effectués par le thérapeute peuvent aider à stimuler le flux sanguin vers les tissus, ce qui peut favoriser la guérison et la récupération. Une meilleure circulation sanguine peut également aider à éliminer les toxines et les déchets métaboliques des tissus, ce qui peut contribuer à la réduction de l’inflammation et à l’accélération du processus de guérison.

Quelques outils nécessaires pour pratiquer la kinésithérapie passive

Les outils technologiques jouent un rôle de plus en plus important en kinésithérapie. Par exemple, les robots d’assistance fonctionnelle sont utilisés pour aider les patients atteints de troubles neurologiques ou musculaires à retrouver leur motricité fine. Ces robots sont équipés de capteurs qui mesurent la force et le mouvement, et sont programmés pour s’adapter aux capacités du patient.

La mobilisation articulaire est une technique qui vise à provoquer un mouvement entre plusieurs segments osseux. Elle permet de rendre ou d’entretenir la mobilité articulaire et d’éviter les compensations d’articulations proches. Cette technique peut être réalisée de manière manuelle (mobilisations globales, analytiques ou spécifiques, postures) ou instrumentale (pouliethérapie ou mobilisation passive continue).

Les tirements actifs sont des techniques utilisées pour préparer les muscles à l’effort. L’allongement des fibres musculaires induit par l’étirement permet d’obtenir un gain de mobilité articulaire et une amélioration de la souplesse musculaire. Ces techniques sont particulièrement utilisées dans le milieu sportif.

Le dynamomètre est un outil utilisé par les kinésithérapeutes pour évaluer l’intensité des forces, la résistance à l’effort, la force de préhension et l’état musculaire des patients. Il est principalement utilisé dans la rééducation de la main, du poignet et de l’avant-bras.

À qui s’adresser pour déterminer les honoraires d’un kinésithérapeute ?

Les kinésithérapeutes peuvent faire appel à un expert comptable kinésithérapeute pour la gestion de leur comptabilité, en fonction de leurs besoins et de leurs souhaits.Les honoraires des professionnels de l’expertise comptable doivent respecter certaines règles, et il est recommandé de vérifier que l’expert comptable pour le kinésithérapeute est bien inscrit au tableau de l’ordre des experts-comptables. En cas de dépassement de tarifs, les kinésithérapeutes doivent fixer leurs honoraires avec tact et mesure. Ils se doivent d’indiquer le montant perçu sur la feuille de soins, ainsi que le motif.

Les kinésithérapeutes exerçant en libéral sont soumis au régime des bénéfices non commerciaux (BNC). Ils doivent naviguer entre le régime micro-BNC et la déclaration contrôlée en fonction de leurs revenus annuels.